LE REFUS SCOLAIRE ANXIEUX

2 réponses

1. bonjour
   en tant que maman d’une fille de 16 ans touchée par ce fléau, j’aimerais savoir si le dépistage précoce du RSA va faire l’objet de l’attention de notre ministère et si un vrai compte des élèves touchés va enfin être effectué. Je serais curieuse de voir si le rpofil « fille bonne élève » est majoritaire.

   de façon générale, l’EN prend-elle la mesure du stress qu’elle induit chez les apprentnas ? Que ce soit avec Parcousup, le nmoyenne de POrnote qui s’affiche en continuer, la pression du brevet dès la sixième et j’en passe. J’ai l’impression que le collège tue le plaisir d’apprendre.
   Sandrine (institutrice)

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   1. Bonjour Sandrine,

      merci pour votre message.
      Comme vous l’indiquez le refus scolaire anxieux est une vrai problématique qui s’inscrit dans le panel des autres que vous citez, stress lié à la réussite, aux évaluations, les classements…
      L’Education nationale en est certainement porteuse, mais pas que. Tous les médias s’emparent de ce concept de réussite, des classement et autres.
      L’école tente de maintenir le cap du plaisir d’apprendre même si au quotidien ce n’est pas toujours simple.
      Certains professeurs de collège et de lycée aussi.
      La focale sur le bien-être et la santé mentale à l’école permettra peut-être de prendre mieux en compte ces problématiques.
      En tous cas, dans nos représentations ministérielles, à chaque fois que possible, notre association pointe la nécessité d’être à l’écoute et de mieux prendre en compte ces divers champs.

      cordialement
      Mme Gaby Keiser-Weber, administratrice AFPEN

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