EDITORIAL Nouvelle décennie, nouvelle envie.
La veille de reprendre le chemin de l’école, j’ai le syndrome de la maison d’hôtes. Vous connaissez ? Changer de métier, ouvrir une maison d’hôtes au milieu d’une campagne idéalisée, vivre à son rythme biologique, accueillir des hôtes que j’imagine souriants, heureux de venir passer quelques jours de ressourcement dans l’espace que j’ai créé. Quand on se sent épuisé, démotivé dans son propre univers, ne tente-t-on pas d’y échapper en se construisant un petit (...)